Notre collègue Didier Nordon, de l'Université de Bordeaux I, livre à notre réflexion son interrogation et sa certitude.
Si un intellectuel se devait hier de mépriser le sport, il se doit aujourd’hui, de se passionner vibrer avec les foules des spectateurs. Les intellectuels se trompaient-ils jadis, ou se trompent-ils aujourd’hui ? Ce qui est sûr, constate Nordon, c’est qu’il n’y a pas moins de panurgisme chez eux qu’ailleurs.
posted by Bernard Claverie - IdC_Bordeaux_2