
posted by Bernard Claverie - IdC_Nordeaux_2
Le site InternetActu rend compte d'une étude portant sur les pratiques d’utilisation partagée du téléphone mobile. Les gens peuvent partagent un objet qui est conçu pour un usage personnel. C'est le cas du portable. Jan Chipchase et Indri Tulusan de Nokia Research, ont enquêté en Ouganda, Inde, Chine, Népal, Mongolie et Indonésie. Dans leur étude,
La Direction de la Recherche, des Etudes, de l'Evaluation et des Statistiques (DREES), du Ministère de la Santé, vient de publier en décembre 2006, sous la direction de Isabelle Leroux et Thomas Morin, une étude (n°545) sur les Facteurs de risque des épisodes dépressifs en population générale.
Intéressante chronique du Monde Diplomatique prédisant la fin de la gratuité des universités. Après les transports, l'énergie, voici le tour de l'université. Selon le journal, la procédure de privatisation d'un service public commence par nuire à son bon fonctionnement en amputant les budgets, invoquer la liberté et l'abondance que procureraient à ce service dégradé, «en retard», son entrée dans l’univers de la concurrence et, dans le cas de l’éducation ou de la santé, la fin de la gratuité. La solution ... faire financer l'Univeristé par le privé, qui fixe les prix ...
La rétine, cette fine couche de neurones qui nous permet de voir, comporte cinq millions de cônes pour les couleurs et 125 millions de bâtonnets pour la vision des formes et des niveaux de gris. Certaines maladies entraînent malheureusement la dégénérescence de ces cellules et provoquent la cécité. Robin Ali et ses collègues de l’Institut d’ophtalmologie de Londres ont montré, dans le numéro de Novembre du Journal Nature, que des souris aveugles (par manipulation génétique) peuvent développer des capacités normales de vue après une greffe de cellules rétiniennes presque matures.
La société Denel Aerospace développe pour le Département de la Santé d'Afrique du Sud un mini-drone de médecine à distance. Destiné à transporter des prélèvements biologiques jusqu'à des laboratoires où ils sont analysés, il permet d'accélérer diagnostic et traitement dans des régions isolées. Il pourrait également être utilisé pour le transport des échantillons médicaux depuis des zones sous quarantaine par suite de pandémie.
Une étude récente menée par María José González Muñoz et par Isabel Meseguer Soler, du département de nutrition, diététique et toxicologie de l'Université d'Alcalá de Henares en Espagne a montré l'effet positif de la consomation de bière sur la démence. Le silicium présent dans un petit nombre d'aliments, comme les bananes, les haricots verts, les épinards, l'eau et le café, est particulièrement efficace dans l'élimination de l'aluminium, une toxine retrouvé en grande quantité dans le cerveaux des personnes atteintes de maladie neurodégénérative. Or ce silicium est tout particulièrement présent dans la bière alcoolisée.
Le 22 décembre, à 0 h 22, la Terre était à sa position de solstice d'hiver. Depuis les nuits raccourcissent et la nuit la plus longue de l'année dans l'hémisphère Nord n'est plus qu'un mauvais souvenir.
Ce que veulent les étudiants :
L'autisme, ce trouble complexe et chronique de la communication qui perturbe les interactions sociales et les comportements en les rendant répétitifs et stéréotypés, semble avoir une origine génétique. c'est ce que montre dans Nature Genetics la chercheuse Christelle Durand et l'équipe de Thomas Bourgeron de l'Institut Pasteur de Paris, en collaboration avec les services de psychiatrie de Marion Leboyer au CHU Créteil, de Marie Christine Mouren-Simeoni au CHU Robert-Debré à Paris et du Professeur Christopher Gillberg de Göteborg en Suède.
Sabine Langevin a soutenu sa thèse de doctorat de sciences cognitives, intitulée "Fausses reconnaissances et vieillissement cognitif : vers une approche écologique", le 14 décembre 2006 à l'Institut de Cognitique de Bordeaux.
Des neurosciences à la robotique - modélisation de l'apprentissage conditionné : thèse présentée par Nicolas Gomond, assistant (ATER) à l'IdC, le 12 décembre 2006.
La Nasa annonce la découverte de matière organique extraterrestre dans une météorite. Selon les chercheurs du Johnson Space Center de la NASA ont récemment découvert qu'une météorite recelait de traces de matière organique, qui se serait formée aux confins de notre système solaire.
La Commission européenne constate que l'Union ne sera pas en mesure de tenir ses objectifs en matière de recherche d'ici à 2010. D'après Bruxelles, les Vingt-cinq devraient dans le meilleur des cas consacrer 2,6 % de leur produit intérieur brut à la recherche, contre 3 % espérés lors du lancement en 2000 de la stratégie de Lisbonne, qui ambitionnait faire de l'Europe la région la plus compétitive du monde. Si la plupart des Etats membres doivent augmenter leurs efforts, c'est surtout le développer de la recherche dans le secteur privé qui est en panne, note la Commission.En 2005, le taux d'investissement de l'Union dans la recherche a atteint péniblement 1,9 % du PIB.Accès au texte du journal Le Monde du 12 décembre 2006.
Le téléphone sera bientôt un outil de réalité augmentée selon David Murphy du Nokia Research Center de Helsinki (Finlande). Un projet visant à aider l'usager à mieux circuler dans le monde réel est basé sur le principe d'une surimposition d'informations virtuelles à des images réelles.Le logiciel, baptisé "Mobile Augmented Reality Application" (MARA), permet selon ce principe d’identifier des objets ou des bâtiments vus à travers l’écran d’un téléphone mobile, selon le mode endo- ou exo-centré.De nouvelles études sur les styles cognitifs en perspective ...
La Conférence permanente du Conseil National des Universités regroupe l'ensemble des sections du CNU concernées par le processus de qualification aux fonctions de maîtres de conférences et des professeurs des universités.Le site Web de la CP-CNU permet à tous les candidats d'avoir accès aux principales informations générales sur la procédure de qualification, et aux fiches spécifiques des différentes sections disciplinaires.Des informations utiles sont égalements accessibles sur la page "recrutement enseignants" du Ministère de l'Education, et sur celui de la Guilde des doctorants.Voir également le site de l'Association des Docteurs es-Sciences (ANDES).
Le programme "Technologies Cognitives" de la Fondation MSH, EDFR&D et ARCo propose le 11 décembre une téléconférence entre la Maison Suger, les universités de Stanford et San Diego (UCSD), l'Université Technologique de Compiègne, l’Institut de Cognitique et EDF R&D, sur le thème : Ethnographie Numérique - l’analyse des usages dans la société de l’information.Dans un monde où le travail et la vie sociale se réalisent de plus en plus avec des machines et des systèmes d’information et de communication, dans des espaces d’interaction numérisés, l’analyse des usages doit prendre en compte les nouveaux modes d’interaction et les environnements augmentés. Lien d'information.Programme :10h: Ouverture. Alain d'Iribarne. Administrateur de la FMSH. Jean-Luc Lory, CNRS et FMSH/ Directeur du département DEVAR.10h15: Saadi Lahlou (EDF R&D, Paris) : « Enregistrer l’activité du sujet de manière située»11h00 : Valery Nosulenko (Académie des Sciences de Russie). «Mesurer les activités numérisées par leur qualité perçue».11h45 :. Christian Licoppe. (ENST, Paris). « Analyse des activités mobiles : exploitation des données de localisation et ethnographie numérique »14h00. Yuri Alexandrov (Académie des Sciences de Russie) : « How we fragment the world : View from outside versus view from inside ».14h45. Siegfried Frey, (Univ. Duisburg-Essen, Germany) : « Capturing and analyzing what pictures elicit in viewers ».16h00: Edwin Hutchins and. Jim Hollan (UC San Diego CA, USA) « Digital Ethnography : experiments in individual and collective activity ».16h45 : Roy Pea and Joseph Rosen (Stanford University, CA, US). « Cognitive technologies for establishing, sharing and comparing perspectives on video over computer networks ».17h30 : Discussion générale.
La calculatrice inventée par Harold Thimbleby et ses collègues du department of computer sciences de l'Université de Swansea au Pays de Galle, présente une ergonomie complètement repensée et intuitive.Le logiciel tourne sous MacOSX et peut être utilisé avec un écran tactile, un stylet ou un tableau intéractif de type "smartboard".Voir la démo en ligne, d'autres présentations et photos ou l'article publié par l'équipe.
La connectique bioinformatique s'établit entre neurone et silicium. L'équipe de Charles Lieber de l'Université de Harvard et celle de Peter Fromherz, du Max Planck Institute of Biochemistry travaillent sur les jonctions silicium-neurone.De l'avenir pour le calcul, la biologie et l'informatique du futur.Via Aie!tech.
Le site "Aie ! tech" est un blog sympa et intéressant que tient à jour Pierre Vandeginste, journaliste scientifique indépendant spécialiste des hautes technologies. L'auteur collabore avec La Recherche, ainsi qu'avec Marianne et les Echos. Il a coédité dans la collection Points Sciences (Editions du Seuil) "La recherche en intelligence artificielle" (1987)Un fil à ajouter dans votre collecteur RSS.
La proxémique, dont les bases ont été jetées en 1963 par l'anthropologue Edward T. Hall, semble respectée même dans le virtuel.Une étude, réalisée par Nick Yee pour sa thèse au département de communication de l'Université de Stanford, sous la direction du professeur Jeremy Bailenson (directeur du virtual human interaction lab.), et publiée dans le journal CyberPsychology and Behavior, montre que les distances inter-individuelles sont respectées même dans les jeux vidéo.
La biométrie entre dans les téléphones portables, et Oki Electric vient d'annoncer le développement d'un système de reconnaissance d'Iris embarqué commercialisé en mars 2007.Cette technique permet d'augmenter la sécurité d'usage des téléphones et notamment celle des paiement en ligne par signature par contrôle vidéo de l'oeil.Selon le communiqué de Oki, tout téléphone ou PDA équipé d'un appareil photo peut embarquer cette technologie, et sera capable de faire la différence entre l'oeil signataire réel et toute photographie, assurant ainsi une réelle et robuste identification.Via Nikkei Net.
RoboDomo, un bobot assistant de personnes agées isolées, a été présenté par le MBDS de l'Université de Nice.Accès au pdf.
Selon Pink Tentacle, Hitachi envisagerait de commercialiser un tel système d'interface cerveau/machine d'ici cinq ans.Le nouvel appareil utilise une technique de ‘topographie optique’, basée sur la mesure de la circulation du sang dans le cerveau grâce à une lumière proche de l’infrarouge. Les zones cérébrales activées permettent aux expérimentateurs de faire fonctionner l’interrupteur marche/arrêt d’un train électrique par conditionnement. Cette topographie spatiale est non-intrusive : elle ne correspond à rien de nouveau, puisque le psychophysiologiste Gray Walter faisait déjà nouger des tortues robotisées par EEG. Les progrés résident dans un appareillage compact qui peut être déplacé et adapté à chaque utilisateur. Autant d’avantages qui jouent certainement en faveur d’une possible commercialisation rapide.Via Wired blogs et InternetActu.net.
L'avenir des militaires laisse une grande place aux drones. Ces véhicules aériens automatisés sont capables d’effectuer des missions de surveillance, voire de combat, sans pilote à bord. Malheureusement, le maniement d’un seul de ces appareils demande l’intervention d’une complète équipe de spécialistes. Ainsi, selon le Boston Globe, (inscription nécessaire) ‘tester et debugger un seul appareil demande la présence de quatre techniciens’.Au MIT, Jonathan How et ses étudiants du Laboratoire de contrôle aérospatial sont en passe de résoudre ce problème. Son équipe a mis au point un logiciel qui automatise une bonne part des tâches du drone, ce qui permet à un unique opérateur de piloter un, voire plusieurs mini-hélicoptères comme le montre cette vidéo.Via Roland Piquepaille.
Sabine Langevin, assistante (ATER) à l'Institut de Cognitique, soutiendra sa thèse de doctorat de sciences cognitives, intitulée "Fausses reconnaissances et vieillissement cognitif : vers une approche écologique", le 14 décembre 2006 à 10 heures 30 (salle des thèses de l'Université Bordeaux 2).Les travaux dirigés par le Professeur Bernard N'Kaoua et Mademoiselle Hélène Sauzéon, maître de conférences de psychologie à l'IdC, portent sur l'étude des effets du vieillissement cognitif sur la qualité des souvenirs en mémoire, tant lors de leur acquisition que de leur utilisation. S'inscrivant dans une conception constructiviste de la mémoire, la recherche s'adresse au phénomène de fausses reconnaissances (sémantique et de source) au cours du vieillissement cognitif. Trois principaux objectifs ont guidé ce travail : la validité écologique de la sensibilité avec l'âge aux fausses reconnaissances ; la plus grande sensibilité des âgés aux fausses reconnaissances de source (comparées aux sémantiques) quel que soit le matériel ; la cause des formes de sensibilité avec l'âge aux fausses reconnaissances, dues à l'action conjointe des opérations d'encodage constructif et de contrôle de la source, et associé à un dysfonctionnement exécutif.L'ensemble de ces éléments permet de discuter des différentes théories et de proposer un modèle d'analyse intégrée des effets du vieillissement sur les fausses reconnaissances.Jury - Rapporteurs : Patrick Lemaire, Professeur à l'Université de Provence ; Laurence Taconnat, Maître de conférences à l'Université de Tours ; Examinateurs : Jean-Claude Marquié, Directeur de recherche CNRS Toulouse ; Bernard Claverie, Professeur à l'IdC ; Hélène Sauzéon, Maître de conférences à l'IdC ; Directeur de thèse : Bernard N'Kaoua, professeur à l'IdC.
Michael Cooper, Australien d'une vingtaine d'années avait fait dans les années 80, un voyage au Kenya à la fin de ses études. Lors d'un safari, alors qu'il s'était éloigné de son groupe au moment d'un arrêt, il se trouva face à face avec un éléphanteau qui semblait blessé à sa patte avant gauche qu'il maintenait levée. Cooper réalisait que l'animal pourrait le charger, mais comme il ne semblait pas agressif, il s'en est approché prudemment et il a pu constater qu'en effet, l'éléphanteau avait une énorme écharde plantée à la base de sa patte.Très calmement, Cooper a posé un genou à terre et à l'aide de son couteau, a retiré l'écharde de la patte. Dès que l'animal a été soigné, il a pu reposer sa patte au sol, il a longuement regardé Cooper, puis il a barri bruyamment et s'en est allé.Jamais, Cooper ne s'est senti menacé par l'éléphanteau et il a conservé toute sa vie le souvenir magique de ce moment rare.Presque 20 ans plus tard, Cooper s'est rendu avec son fils âgé de 11 ans, à un zoo de la banlieue de Sidney. Lorsqu'ils sont passés tous les deux devant l'enclos des éléphants, l'un des éléphants s'est brusquement mis à taper le sol avec sa patte avant gauche. Cooper s'est mis à douter, pouvait-il s'agir du même éléphant que celui qu'il avait soigné 20 ans auparavant ?Il s'approcha un peu plus de l'enclos, et l'animal continuait de frapper le sol de plus belle. Alors, Cooper enjamba le mur d'enceinte et se dirigea vers l'éléphant.Ce dernier l'attrapa par la taille avec sa trompe, ensuite, il le souleva et le fracassa contre le mur.Ce ne devait pas être le même éléphant ...(merci à J.M.André pour cet exemple pédagogique)
Des neurosciences à la robotique - modélisation de l'apprentissage conditionné : thèse présentée par Nicolas Gomond, assistant (ATER) à l'IdC, le 12 décembre 2006.Les travaux ont été dirigés par le Professeur Jean-Marc Salotti.L'idée maîtresse de cette thèse définit l'apprentissage conditionné comme la "brique" élémentaire de comportements complexes, considérés comme les façades visibles de l'intelligence. Une meilleure prise en compte de l'apprentissage conditionné dans un modèle informatique a deux conséquences importantes : aider les neurobiologistes en constituant un outil d'expérimentation et améliorer les comportements d'agents autonomes dans le domaine de l'intelligence artificielle. Dans ce contexte, le travail a consisté, premièrement, à étendre un modèle computationnel du conditionnement et de l'inhibition latente pour simuler des hypothèses de neurosciences. Deuxièmement, fort des limites rencontrées lors de cette modélisation et dans une optique d'utiliser les connaissances neurobiologiques en intelligence artificielle, un modèle neuromimétique capable de reproduire les expériences comportementales et donnant des capacités d'adaptation autonome à un robot a été élaboré.Le jury est composé de Monsieur Frédéric Alexandre, directeur de recherche INRIA au Loria-Nancy, et du Professeur Mathias Quoy de l'Université de Cergy-Pontoise, rapporteurs, de Messieurs Pierre-Yves Oudeyer, chercheur au Sony CSL Paris, et Marc-Michel Corsini, maître de conférences à l'Université Bordeaux 2, des professeurs Jean-Marc Salotti et Bernard Claverie de l'IdC.
S'il semble bien que l'expérience est la meilleure façon d'apprendre, elle n'est pas sans risques quant aux fausses certitudes. Une nouvelle étude constate que ce n'est pas toujours vrai. Ann E. Schlosser du Department of Marketing and International Businessde l'Université de Washington a étudié la façon dont des personnes utilisaient un appareil-photo après avoir été informées de ses fonctionnalités de deux manières différentes : d'une part au moyen d'une animation virtuelle interactive et d'autre part à l'aide d'un simple texte et d'images statiques. Bien que l'expérience virtuelle améliore la mémorisation des fonctions d'usage, elle augmente le nombre de certitudes erronées.En d'autres termes, un nombre plus important de personnes croyaient qu'elles pourraient faire des choses que l'appareil ne permettait pas. La réalité virtuelle est-elle la source d'un autre virtuel, celui-ci imaginaire ?Accès au résumé de la publication dans l'édition de décembre 2006 du Journal of Consumer Research.
Internet a un effet positif sur le capital social. C'est ce que montre Thierry Pénard. Ce chercheur au laboratoire Marsouin s’est intéressé (avec Nicolas Poussing) il y a quelques mois, à savoir si l’usage de l’internet à un impact sur la nature et l’intensité du ‘capital social’ d’un individu, autrement dit, de ses réseaux sociaux formels et informels. Cette étude met en évidence l’effet positif de l’internet sur la sociabilité, en complément d’autres investissements sociaux, sauf pour les individus ayant connu une mobilité ou une rupture (géographique, professionnelle ou affective), pour qui l’usage de l’internet sert à renouveler profondément leur capital social.Complétant cette approche, Thierry Pénard (avec Raphaël Suire cete fois-ci) a prolongé son enquête en s’intéressant aux rôles des interactions sociales sur les modèles économiques des entreprises présentes sur l’internet. Là encore, il montre que les interactions sociales, sous la forme d’externalités de réseau, de bouche à oreille et d’évaluations, jouent un rôle central, en créant de la confiance et en stimulant la demande s’adressant aux entreprises.(Via InternetActu.net.)
Thèse de sciences cognitives à l'Institut de Cognitique soutenue le vendredi 8 décembre par Jérôme Rodrigues, allocataire du laboratoire de sciences cognitives (EA-487). Les travaux portant sur une "Étude de la compensation mnésique dans le cadre des niveaux de traitement : Approche espérimentale et modélisation" ont été dirigés par le Professeur Bernard N'Kaoua.