Hybrider l'homme et l'animal : les chercheurs britanniques veulent utiliser des embryons animaux dans lesquels les noyaux contiennent de l'ADN humain, afin d'étudier des maladies génétiques sans dépendre de l'approvisionnement en embryons humains. Le gouvernement voulait dire non. L'autorité de régulation britannique impose un débat public bien étranger à la France.
(Via Futura Sciences.) posted by Bernard Claverie - IdC_Bordeaux_2